Full Metal Alchemist
L’autre jour, comme j’avais encore 6h de train à tuer, plus 2h de correspondance sous le cagnard de la garde de l’est, Doudou m’a prêté de la lecture…
Full Metal Alchemist (ARAKAWA - 2005)
D’habitude, je ne lis pas trop de mangas. Non pas que je trouve ça nul, mais je n’y connais rien, et il y a quand même pas mal de trucs nazes dans les rayons… Mais comme Doudou m’a dit que celui-là était bien, et qu’en plus le format convenait parfaitement à la lecture sur banc, c’était parfait pour la circonstance.
J’ai donc lu les 3 premiers volumes. Et c’est pas mal du tout. J’espère qu’il va acheter la suite, que je puisse la lire (en espérant qu’il n’y ait pas 42 volumes comme Dragon Ball, que je n’ai jamais fini…).
C’est l’histoire de deux frères, qui parcourent le monde, à la recherche de la pierre philosophale. Bien entendu, en chemin ils vont avoir plein d’aventures, des aventures d’Alchimistes (et on peut faire plein de choses avec l’Alchimie…). Pourquoi la pierre philosophale ? Pas pour fabriquer de l’or, non-non-non, mais parce que plus jeunes ils ont fait une connerie : ils ont essayé de faire revivre un mort, leur mère, bien que ce soit strictement interdit par les règles de l’Alchimie. Non seulement ça n’a pas marché, mais en plus l’un a perdu son corps (et son âme est logée dans une armure, pas facile pour vivre…) et l’autre un bras et une jambe, qu’il a remplacé par des prothèses en métal, d’où son nom de Full Metal Alchemist.
L’histoire est sympa, les personnages attachants et il y a juste ce qu’il faut d’action et de petites blagues « à la Manga ». C’est pas du grand art (mais rares sont les mangas à être du grand art, enfin passons), mais ça se lit agréablement, et comme le dit Coatlistraz : c’est très bien « si on ne veut pas se prendre la tête le soir en sortant du boulot ».
Le site officiel en anglais : http://www.fullmetalalchemist.com